dimanche 16 septembre 2012

Le grand gâchis National


Membre de l’équipe du blog NFI, je visite en juin dernier, pour raisons professionnelles, une PMI de la région toulousaine spécialisée dans la chaudronnerie et la mécano-soudure de pièces essentiellement destinées à l’industrie aéronautique.
A la fin de la visite, je m’entretiens de manière informelle avec le chef d’entreprise sur ses perspectives et les problèmes qu’il rencontre au quotidien.
J’apprends alors que l’un de ses plus gros problèmes est, hormis ceux du poids des charges et la difficulté à financer ses investissements, l’impossibilité de trouver du personnel qualifié pour occuper certains postes en production et en soutien de production. 

Pour y remédier, il me confie qu’il a dû se résoudre à employer du personnel espagnol pour compenser les manques les plus critiques et éviter ainsi la perte de certains marchés aéronautiques hautement stratégiques pour sa société.

A l’heure où apparaissent en France des chiffres du chômage qui atteignent, nous dit-on, des records, comment ce modeste chef d’entreprise, qui ne cherche qu’à pérenniser son activité, est-il amené à recruter en Espagne ?

En réalité, la situation de ce chef d’entreprise, n’est pas exceptionnelle. Le nombre d’emplois non-pourvus dépassent les 500 000 dans des secteurs très hétérogènes : aéronautique (tiens, tiens…), informatique, bâtiments & travaux publics, médical et paramédical, aide à la personne, hôtellerie & restauration, industrie manufacturière de pointe.

Ça c’est pour le constat.

Au blog NFI, nous pensons que les solutions proposées (quand il y en a) par le gouvernement socialiste en place relève de la mesquinerie, tant elles sont inadaptées aux vrais problèmes : on parle d’interdictions de licencier, de contrats aidés, de contrats de génération, de coût du travail trop élevé. Ne nous attardons pas non plus sur le cas des Roms où les carriéristes du gouvernement n’ont rien trouvés de mieux que leur ouvrir notre marché de l’emploi sur 150 métiers dits « en tension ».

Qu’ils soient de droite ou de gauche, les gouvernements qui se succèdent réagissent plus qu’ils n’agissent. Il est vrai qu’il est plus simple de prendre des mesures d’ordre cosmétique et électoraliste, plutôt que de s’attaquer de plein fouet aux deux principaux problèmes du chômage en France, à savoir (1) la croissance économique et (2) l’adéquation du monde du travail entre l'offre et la demande, c’est-à-dire la formation.

Repliée sur elle-même, bureaucratique, au mode de fonctionnement aussi sclérosé que celui du PC Soviétique au temps de sa gloire éphémère, l’« éducation » nationale a creusé un tel fossé avec le monde du travail qu’elle est incapable d’anticiper les besoins des entreprises. Il existerait aujourd’hui un trou de 2 à 3 millions de postes qui ne seront pas pourvus demain en France, alors que dans le même temps, des milliers de jeunes, mal diplômés ou sans qualification, viennent gonfler chaque année les rangs des demandeurs d’emploi et des travailleurs précaires.

A notre sens, l’« éducation » nationale doit adopter une stratégie d’ouverture au monde du travail. Elle doit échanger sa vision dogmatique et collectiviste de l’« éducation », que nous préférerons nommer « instruction », contre un état d’esprit souple et adapté en permanence aux besoins des employeurs, entreprises du secteur privé ou corps publics.
Concrètement, cette remise en question globale de l’approche « éducative » doit se déployer sur le terrain par la mise en œuvre de mesures fortes. Citons par exemple :
·          Assoir fermement le principe de laïcité dans les établissements de la République ;
·          Rétablir l’autorité de l’Enseignant en donnant à ce dernier, ainsi qu’au Chef d’établissement, un arsenal disciplinaire gradué ;
·          Dès l’école primaire et jusqu’au Baccalauréat, uniformiser la tenue vestimentaire et les fournitures scolaires ;
·          A l’école primaire toujours, redonner la priorité à l’enseignement de 6 matières : langue française, arithmétique, instruction civique, histoire de France, langue anglaise et sport ;
·          Mettre en place, dès la 6ème, les 3 filières générales, technologiques et professionnelles ; créer des passerelles entre elles tout au long du cursus collège & lycée ;
·          Supprimer la notion de collège et de lycée, au profit d’un établissement unique d’enseignement secondaire ;
·          Constituer les classes exclusivement selon le niveau scolaire des élèves ;
·          Définir les programmes d’enseignements de chaque filière dans des commissions mixtes composées, selon la filière, de dirigeants d’entreprises, de salariés du privé, de fonctionnaires et d’Enseignants ;
·          Accentuer le recrutement des Grandes Ecoles aux plus méritant de chaque filière ;
·          Ouvrir le recrutement des Enseignants et Professeurs aux cadres et techniciens des PME/PMI et du secteur public, aux artisans, aux opérateurs hautement qualifiés, ayant une ancienneté minimum ;
·          Pour les filières technologiques et professionnelles, renforcer l’alternance et l’apprentissage ;
·          Ouvrir 3 nouveaux types d’internats intégrés aux nouveaux ERES (Etablissement Républicain d’Enseignement Secondaire) : internat (sans régime disciplinaire particulier) / internat à régime « semi-disciplinaire » / internat à régime « disciplinaire », les 2 derniers étant encadrés par d’anciens militaires ou policiers ;
·          Répartir les meilleurs enseignants sur l’ensemble du territoire, selon les carences d’un ERES ou d’une zone particulière ;
·          Promouvoir et rémunérer les personnels éducatifs (Enseignants, Cadres et personnels de soutien) en fonction de leurs conditions d’exercices et de leurs performances ;
·          Différencier les notions d’« éducation » et d’« instruction » : l’état a le devoir d’instruire, les parents ont le devoir d’éduquer, les 2 étant complémentaires.
·          Supprimer définitivement les IUFM et aller aux concepts de formation des Instituteurs par alternance

Je conclurai ce post par relayer un autre constat alarmant, dressé cette-fois dans un rapport récent de l’OCDE : le taux de scolarisation des jeunes a baissé en France depuis quinze ans. Il serait ainsi passé, selon l’OCDE, de 89% en 1995 à 84% en 2010, pour la tranche d’âge 15/19 ans. Par ailleurs, 71% des jeunes déscolarisés de cette tranche d'âge sont sans emploi ou inactifs, toujours selon le rapport.
Nos gouvernants ne font rien face à de tels chiffres. Quelles solutions proposent-ils ? Quel est leur plan de route ? Où trouve-t-on, aujourd’hui en France, une véritable politique d’instruction nationale sur les 5 ou 10 ans à venir ???
En attendant, ma PMI de la région toulousaine recrute à l’étranger quand des centaines de milliers de jeunes Français sont et seront abandonnés sur le bord de la route.

Quel effroyable gâchis…

vendredi 31 août 2012

La France est en guerre… Et personne ne veut le dire


Dans la rubrique « ce que vous ne verrez jamais dans les médias français », voici une interview, criante de vérité et de justesse, de l’écrivain Renaud Camus, parue sur le site français de la VOIX DE LA RUSSIE le 20 août 2012.
Le blog NFI vous en propose l’intégralité…


L'écrivain engagé Renaud Camus dit clairement que la France est en guerre et que ce que les médias appellent actes de violences ou incivilités sont en fait des actes de guerre menés contre la France et sa civilisation.

Où voyez-vous des actes de guerre en France qui rappellent le début de la guerre d'Algérie ?
Ce qui rappelle le début de la guerre d’Algérie c'est l’extrême euphémisation du discours imposé par le complexe médiatico-politique. On disait « les évènements », on dit « les affrontements ». Le caractère de conflit territorial est totalement nié.

Pourquoi êtes-vous en colère contre les médias ?
Parce qu’ils imposent (presque) unanimement un système de lecture du monde qui est une formidable machine à ne pas voir, à ne pas dire, à ne pas comprendre. L’antiracisme, car c’est de lui qu’il s'agit, depuis qu’il a cessé d’être une morale pour se transformer en idéologie, en endoctrinement, en instrument de pouvoir et de répression, est devenu ce que j’ai appelé, empruntant l’expression à Alain Finkielkraut, Le Communisme du XXIe siècle (éditions Xénia). Il sert, menaces à l’appui, à dissimuler ce qui survient : à savoir le changement de peuple, le Grand Remplacement, la contre-colonisation.

Pourquoi avoir fondé un parti politique ?
Parce qu’il n’en existait aucun qui répondît à l’urgence de la situation et nommât ce qui arrive, la conquête du territoire. Il y avait bien le Front national, qui au moins paraissait conscient de la réalité des choses, mais la présence à sa tête de Jean-Marie Le Pen, à l’époque, empêchait de s'en rapprocher, a fortiori d’y adhérer.

Pourquoi vos maisons d'édition ont arrêté votre contrat ?
Ça, c’est plutôt à elles qu’il faut le demander…

Est-ce que la France est une terre d'immigration depuis des siècles ?
Absolument pas. C’est l'une des plus cyniques inventions de l’historiographie collaborationniste, au service du parti dévot. Entre le VIe et le XXe siècle, la France a eu une population aux composantes stables. Une première vague d'immigration se manifeste à partir de la fin du XIXe siècle, mais c’est encore une immigration d'individus, et facilement assimilables en une ou deux générations parce que de même civilisation, chrétienne et européenne : Belges, Italiens, Polonais. L’immigration de masse ne commence qu’avec le dernier tiers du XXe siècle et très vite il n’est plus question d’intégration car si la France a toujours su et pu intégrer des individus, elle ne peut pas intégrer des peuples, surtout s’ils appartiennent à des civilisations totalement étrangères à la nôtre et souvent hostiles.

Faut-il créer comme sous le modèle de De Gaulle un gouvernement des Forces Françaises Libres ?
Nous n’en sommes pas là. De vastes parties du territoire sont encore sous le contrôle du gouvernement national. Le problème est qu’il est lui-même largement entre les mains d'inconscients ou de cyniques, qui s’accommodent très bien de la colonisation en cours ou qui la favorisent.

Assistons-nous à la réécriture de l'Histoire de France ?
Ah ça, totalement. Elle est grandement favorisée par la Grande Déculturation, l’effondrement du système d'éducation, l’enseignement de l’oubli, l’industrie de l’hébétude.

Pourquoi les populations maghrébines veulent à tout prix venir en France alors qu'elles ont chassé la France de leurs pays ?
Quand les Russes ont chassé les Français de Russie, en 1812, ils les ont poursuivis jusqu’à Paris. Mais ils ne sont restés que deux ou trois ans. Et ils n’étaient qu’une armée, pas un peuple.

Est-ce que la France est comme le Kosovo avec des zones musulmanes, africaines et chrétiennes ?
La France moderne s’ingénie à devenir ce que la France classique s’est évertuée des siècles durant à ne pas être, une ex-Yougoslavie, des Balkans, un autre Liban, un panier de crabes.

Puisque nous parlons de populations différentes, parlez-nous du traitement des statistiques sur la démographie…
Statistiques et sociologie sont au parti dévot ce que la biologie de Lyssenko était au stalinisme.

Avez-vous lu « Les Yeux grands fermés » de Michèle Tribalat ? Votre avis ?
Une des rares voix clamant dans le désert, comme celle de Richard Millet en littérature.

Les immigrés disent être plus français que les Français et nomment les Français «souchiens ou sous-chiens». Cela vous choque ?
C’est peut-être vrai de quelques milliers d’entre eux, qui aiment plus la France que ne l’aiment ses indigènes déculturés. De la part des autres, ce n'est qu'une revendication territoriale — cela ne fait que me confirmer dans ce que je pense : qu'une conquête est en cours, par colonisation de peuplement.

Que pensez-vous du rôle des organisations humanitaires qui comme le MRAP interdisent de parler des faits ?
Qu’elles sont les auxiliaires intéressées du Grand Remplacement.

Le fait que Poutine interdise de telles organisations en Russie est donc une bonne idée ?
Il n’est pas nécessaire de les interdire. Il suffit de ne pas les subventionner.

Jean-Christophe Napoléon




Chef de la maison impériale et descendant direct des 2 Empereurs Français, le Prince Jean-Christophe Napoléon est l’actuel prétendant au trône impérial.
Né le 11 juillet 1986 à Saint-Raphaël, il entre au collège & lycée Saint-Dominique à Neuilly-sur-Seine et étudie ensuite à L’Institut Privé de Préparation aux Etudes Supérieures.
Diplômé de HEC, il travaille depuis 2011 au sein d’une grande banque d’affaires à New-York.
Fils du Prince Charles Napoléon et de Béatrice de Bourbon, il a une sœur, Caroline, née le 24 octobre 1980 et 2 demi-sœurs, Sophie, née le 18 avril 1992 et Ahn-Laetitia, née le 22 avril 1998, issues du second mariage de son père.

L’éloignement géographique - pour raisons professionnelles - ne l’empêche pas de suivre régulièrement l’actualité nationale et de se tenir informé de l’évolution de son pays. Cette démarche montre sa préoccupation sur l’avenir du peuple français ; elle montre également que l’attachement à son pays reste intact.

L’hypothèse du retour d’un Napoléon sur le trône impérial français reste essentiellement conditionnée, à notre sens, par le facteur démocratique. Notre pays a encore pour lui le formidable atout d’être républicain. Dans un tel espace de démocratie, même fragilisé et attaqué de toutes parts, il est inconcevable que le Prince accède au trône impérial autrement que par le vote ; d’autant que les Bonaparte ont toujours été – c’est le moins qu’on puisse dire – des défenseurs acharnés des libertés individuelles et collectives.

Se pose alors naturellement la question de sa candidature à l’élection présidentielle et de sa rencontre avec le peuple français : et ici, tout reste à faire…

Avec humilité, mais détermination, le blog NFI œuvrera à l’élection de S.A.I. Jean-Christophe Napoléon à la Présidence de la République sous sa propre étiquette, celle des Bonaparte.
D’ores et déjà, le blog NFI concoure à disséminer l’idée Napoléonienne dans toutes les composantes de la Nation.
Il démontre que c’est par elle que la France retrouvera la maîtrise de son destin et le chemin de la prospérité.
Et invite tous les français qui refusent de capituler devant le déclin de notre Nation, à venir nous rejoindre.

Ce qu’ils nous ont légués…


 
Dire que les Bonaparte ont jetés les bases de l’état moderne est un euphémisme… Dressons plutôt un inventaire – non exhaustif - des réformes entreprises (et menées à terme !) par nos 2 Empereurs.

Aucun Président – et bien peu de Roi - peuvent se prévaloir d’un tel bilan.

Il correspond bien sûr aux besoins et au contexte des époques… Mais tout de même : par son ampleur, son audace et son efficience, il montre, dans le contexte de déliquescence actuel, l’affligeante lâcheté de nos dirigeants politiques à redresser la barre et diriger notre pays comme il doit l’être.

Divers
Abolition du calendrier républicain et rétablissement du calendrier grégorien ;
Reconnaissance de la liberté de réunion ;
Institution des courses de chevaux ;
Inauguration de la première exposition universelle en France ;
Pacification de la Vendée.

Cultes & Religions
Signature du concordat avec le Pape ;
Réouvertures des séminaires ;
Reconstruction des églises et des logements des prêtres ;
Réorganisation du culte protestant avec la création du Consistoire ;
Réorganisation du culte juif et création du Grand Sanhédrin ;
Attributions pour les Juifs d'un patronyme ;
Organisation de la liberté de culte pour tous.

Institution
Division du territoire français et décentralisation de l'administration ;
Création des Préfets et Sous-Préfets ;
Création du Conseil d'Etat ;
Création de la Légion d'Honneur et des maisons d'éducation de la Légion d'Honneur.

Aménagement du territoire
Etablissement du cadastre ;
Développement du réseau routier : construction des liaisons Anvers - Amsterdam, Mayence - Metz, Bordeaux - Bayonne, etc. ;
Développement du réseau ferré et construction de nombreuses lignes de chemin de fer ;
Construction des passages du Simplon, du Mont-Cenis, du Mont-Genève, de la Corniche ;
Construction du canal du Rhin-Rhône, du canal de l'Escaut à la Somme, du canal de l'Ourcq ;
Construction des Bassins d'Anvers et de Flessingue ;
Construction des ouvrages hydrauliques de Dunkerque, Nice, Le Havre ;
Construction du bassin de Cherbourg ;
Construction de nombreux ponts (Paris, Tours, Roanne, Lyon, Turin, Bordeaux, Rouen, etc.) ;
Construction de multiples égouts, gares, édifices, adductions d'eau, ports, parcs, halles, éclairage électrique… ;
Dessèchement des marais de Bourgoin, du Cotentin, de Rochefort ;
Numérotation des routes et des maisons ;
Percement du Canal de Suez par Ferdinand de Lesseps ;
Développement des lignes télégraphiques ;
Rénovation de la plupart des villes françaises (Lyon, Marseille, Roubaix, Bordeaux, Besançon…).
A Paris…
Construction des Arcs de Triomphe (Etoile et Carrousel) ;
Construction de la colonne Vendôme ;
Création de la Bourse de Paris ;
Construction de la Halle aux Vins ;
Fondation du Paris moderne par Georges Haussmann ;
Création des premiers réseaux de distribution d’eaux courantes ;
Création des premiers égouts et des premiers réseaux d’assainissement ;
Apparition des premiers éclairages des rues avec des lanternes à huile ;
Percée de la rue de Rivoli.

Education & Instruction
Création des lycées ;
Création de l'université impériale ;
Création du baccalauréat et première fille bachelière ;
Création ou réforme des grandes écoles : Ponts et Chaussées, Arts Mécaniques, Ecole Spéciale de Saint-Cyr, Polytechnique, etc. ;
Création des Palmes Académiques ;
Réforme du droit d'apprentissage ;
Création de l’école gratuite ;
Première orientation scolaire dans l'enseignement secondaire ;
Création de l'enseignement secondaire spécial ;
Obligation d'une école de filles dans les communes de plus de 500 habitants ;
Ouverture des cours secondaires pour les filles ;
Création de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes ;
Début de l'école « pré-élémentaire » (maternelle) ;
Réseautage des bibliothèques populaires ;
Développement de l’enseignement technique ;
Création de facultés de droit et de sciences ;
Création  des « cours du soir » pour adultes.

Agriculture
Développement de la culture de la betterave à sucre ;
Introduction de la culture de la laine ;
Institution du Crédit Foncier ;
Apparition de la technique d’assainissement des terres par le drainage ;
Ensemencement des Landes et des Dombes ;
Défrichement de la Sologne ;
Création des Chambres Consultatives d'Agriculture.

Industrie
Dans les processus de teinture, substitution progressive du pastel pour l'indigo, développement de la garance et du safran ;
Développement de l'industrie textile et des manufactures d'art ;
Création d'une société d'encouragement à l'industrie nationale ;
Emergence de la notion de « productivité » ;
Début des premiers travaux recherche concernant les outils de production.

Travail
Création des premiers conseils de prud'hommes ;
Apparition des premiers décrets interdisant le travail des enfants de moins de 13 ans ;
Mise en place du premier système de retraite des fonctionnaires ;
Mise en place des caisses de retraite ;
Reconnaissance du droit de grève ;
Création des caisses d'assurance, sur la vie et sur les accidents au travail ;
Développement des sociétés des secours mutuels (ancêtres de la Sécurité Sociale et des mutuelles) ;
Reconnaissance de l’égalité juridique entre salariés et patrons.

Justice
Création du Code Civil ;
Création du Code de Procédure Civile ;
Création du Code d'Instruction Criminelle ;
Création du Code Pénal ;
Création de la Cour de Cassation ;
Abolition de la peine de mort pour homosexualité ;
Organisation de l'assistance judiciaire gratuite ;
Suppression du port du boulet dans les prisons ;
Renforcement des pouvoirs du juge d'instruction.

Economie & Finances
Création de la Banque de France ;
Création du Franc Germinal ;
Création de la Cour des Comptes ;
Création du Code du commerce ;
Création des Chambres de Commerce ;
Réglementation des marques de fabrique ;
Mise en place de la participation des salariés aux bénéfices, au capital et à la gestion des entreprises ;
Mise en place du système bancaire français ;
Développement des livrets d'épargne.

samedi 25 août 2012

Etre Bonapartiste (en quelques mots...)

« L'idée napoléonienne consiste à concilier l'ordre et la liberté, les droits du peuple et les principes d'autorité.
Elle trouve un élément de force et de stabilité dans la démocratie.
Elle ne suit ni la marche incertaine d'un parti ni les passions de la foule: elle commande par la raison.
Elle ne procède pas par exclusion, mais par réconciliation.
Elle donne à chacun l'emploi qui lui est dû, la place qu'il mérite selon sa capacité et ses œuvres.
N'ayant d'autre préoccupation que le bien, elle cherche par quel moyen elle peut rendre le pays prospère.
Elle va vivifier l'agriculture; elle invente de nouveaux produits; elle emprunte aux pays étrangers les innovations qui peuvent lui servir. Elle aplanit les montagnes, traverse les fleuves, facilite les communications et oblige les peuples à se donner la main. Elle emploie tous les bras et toutes les intelligences. […]
Ce qui distingue surtout une bonne administration, c'est lorsqu'elle améliore le sort des classes laborieuses, qu'elle éveille toutes les industries, qu'elle tient une balance égale entre les riches et les pauvres, entre ceux qui travaillent et ceux qui font travailler. […]
Répétons-le en terminant , l'idée napoléonienne n'est point une idée de guerre, mais une idée sociale, industrielle, commerciale et humanitaire. »

Louis Napoléon Bonaparte, 1839.

mardi 7 août 2012

Pour le retour de la Famille Impériale


En 1873, le 9 janvier à 10 h 45 exactement, L’Empereur Napoléon III meurt à l'âge de 65 ans des suites d’une longue maladie, dans sa résidence de Camdem Place, dans le comté de Kent, en Angleterre.
Près de 60 000 personnes, dont un dixième de Français issu de tous corps, de toutes classes et de toutes confessions, participent à l'inhumation le 15 janvier.
Son épouse l'Impératrice Eugénie lui construit un mausolée à la St Michael's Abbey de Farnborough, où il repose aujourd’hui aux côtés de sa femme et de leur fils unique, le Prince Impérial Louis Napoléon.

Le Blog de la Nouvelle France Impériale demande aux autorités de la République Française de tout mettre en œuvre pour le retour des cendres de la Famille Impériale sur la terre de France.

Ce retour mettra un terme au mépris entretenu par nos classes dirigeantes à l’égard du dernier grand souverain français ayant modernisé et adapté notre pays aux exigences économiques, sociales et culturels de son époque.
Il est vrai qu’aucun des gouvernants qui se sont succédé par la suite n’ont été capable de mener un train de réformes d’une telle envergure. Réhabiliter l’Empereur Napoléon III serait donc, non seulement, reconnaitre les garanties de prospérité et de développement qu’apporterait un monarque impérial à notre pays, mais cela permettrait de constater également à quel point nos élites sont incapables de faire façe aux défis actuels qui se posent.

Le retour de la Famille Impériale en France serait enfin un symbole fort d’espoir pour l’ensemble de nos compatriotes en manque de repère et à l’avenir incertain.

dimanche 5 août 2012

Il était temps !

Parce que :
Nous ne croyons plus à la République telle qu’elle est devenue ;
Le pouvoir républicain, la justice, les médias et le « show-business », forment en réalité un seul bloc idéologique ;
Nous n’accordons plus de crédit aux élites qui nous gouvernent ;
Nous sommes en guerre contre toutes les forces qui asservissent notre Nation et étranglent son peuple ;
Le fanatisme et le despotisme n’ont pas encore été rayés de la planète ;
Nous ne pouvons plus vivre en paix et en sécurité dans notre pays ;
Nos compatriotes s’engluent dans une torpeur dont on les y enfonce un peu plus tous les jours;
Des chanteurs sont décorés de la légion d’honneur ;
Il y a des millions de chômeurs, quand des secteurs entiers manquent de salariés ;
Des pauvres bougres venus d’Afrique se voient devenir français sans mérite ;
La violence faite aux plus vulnérables nous rend fous ;
Nous ne pourrons pas dire à nos enfants que nous n’avons rien fait pour qu’ils vivent mieux que nous dans leur pays.

Et aussi parce que…
Nous croyons en la France, en ses forces immenses, à ses valeurs universelles ;
La France n’est pas une race, une religion ou une couleur de peau : nous pensons que la France est une histoire, une civilisation, un projet ;
Nous plaçons la Citoyenneté Française au-dessus de toutes autres considérations communautaires ou individuelles ;
Nous croyons qu’il faut d’abord donner, avant de recevoir ;
Nous croyons à la notion de mérite et de juste récompense ;
Si nous croyons en la démocratie locale, nous croyons aussi aux garanties qu’apporterait à la France un souverain impérial à sa tête ;
Nous sommes avides de liberté et de progrès ;
Et surtout parce que des solutions réalistes et éprouvées existent pour nous sortir de l’ornière, à condition de le vouloir et de s’en donner les moyens,

Nous avons décidé que le temps était venu de mettre en exergue les idées que nous croyons bonnes et justes.

Alors peut-être, vous ne vous reconnaitrez pas dans toutes ces raisons. Mais au moins, vous serez les bienvenus sur ce blog si :
·          En France, vous ne reconnaissez qu’une seule communauté : nous sommes Français, nous sommes publiquement laïque, nous parlons le Français, nous n’avons qu’un drapeau et qu’un hymne ;
·         Tout en revendiquant les racines judéo-chrétiennes de la France, vous œuvrez, à votre niveau, pour sa modernité, la démocratie en son sein, la république et son autorité ;
·          Vous cherchez à protéger les plus faibles ;
·          Vous dîtes toujours la vérité, même si ça vous coûte, et vous ne pratiquez pas la langue de bois ;
·          Vous voulez sortir de la « matrice » du « prêt-à-penser » ;
·          Vous ne croyez jamais ce qu’on vous dit, ce que vous voyez ou ce que vous lisez ; vous essayez toujours de savoir par qui cela a été dit, écrit ou montrer, et pourquoi ;
·          En permanence, et à votre rythme, vous cherchez à vous instruire et à vous cultiver, pour développer votre esprit critique et devenir une force de proposition ;
·          Au travail, à la maison, comme dans la vie, vous agissez dans l’honneur et l’ordre, avec « valeur et discipline » (*)

Bonne lecture !

L’équipe du Blog de la Nouvelle France Impériale

(*) Devise du premier Empire